Ce cliché illustre la protestation d’une partie des habitants face à l’impact écologique et social des Jeux Olympiques. La banderole pointe une augmentation de la pollution de l’air (+40 %) et du bruit (+50 %), ainsi que les effets négatifs sur le quotidien des riverains. Ces messages reflètent une réticence locale envers certains projets d’infrastructure associés aux Jeux.

Conçue par l'architecte japonais Kengo Kuma, la station Saint-Denis Pleyel incarne l'élégance et la modernité, tout en s'intégrant harmonieusement à son environnement urbain. Avec sa façade en verre et bois, elle reflète une vision durable de l'architecture, privilégiant lumière naturelle et matériaux écologiques. Cette infrastructure est destinée à devenir un point central du réseau de transport en Île-de-France, facilitant les déplacements pendant les JOP 2024 et au-delà.

Cette passerelle innovante symbolise l’engagement écologique des JOP 2024. Conçue pour favoriser les déplacements doux (piétons et vélos), elle est agrémentée d’espaces verts et d’aménagements paysagers, mettant en avant l’importance de la biodiversité dans un contexte urbain.

Cette structure futuriste est un recycleur d'air innovant offert par les JOP2024 à une école située à proximité d'une bretelle d'autoroute. Son objectif est de purifier l'air pour les élèves et le personnel scolaire, illustrant un héritage concret et écologique des Jeux. Cette initiative met en avant l’importance de la qualité de l’air dans les zones urbaines denses.

Les bâtiments résidentiels flambant neufs montrent l'impact durable des Jeux sur l’aménagement urbain. Construits avec des matériaux modernes, ces logements visent à répondre aux besoins futurs tout en intégrant des principes de performance énergétique. Une passerelle piétonne visible au premier plan encourage la mobilité douce.